23 posts
Léandre
@leandre.mrn
La montée en puissance de l'IA représente des avancées potentielles majeures dans de nombreux domaines : sciences, santé, démocraties, écologie, éducation. Toutes les faces de la société peuvent être un jour améliorées par l'IA. Cependant, c'est comme tout outil. LA fission nucléaire a permis les centrales nucléaires qui, de nos jours, produisent plus de 70 % de l'électricité française. La fission nucléaire a également permis les bombes atomiques, qui ont rasé des villes entières, et tué des dizaines de milliers de civils. L'IA pourrait également conduire à une dystopie : surveillance de masse ou encore diffusion massive de fake news. Cela nous rappelle un point important : l'éthique de chaque outil dépend de son usage. L'IA n'est pas une mauvaise chose en soi, c'est la manière dont nous pourrions l'utiliser.
On observe depuis ces dernières décennies une montée en puissance fulgurante des régimes autoritaires tels que la Chine, l'Iran, la Corée du Nord... Ces régimes pèsent de plus en plus sur la scène internationale, lorsque les démocraties occidentales sont fragilisées. La situation politique aux États-Unis est instable : de nombreuses manifestations, des décrets pris par l'administration Trump qui ne respectent pas la loi, l'envoi de la garde nationale à Washington... tous ces événements démontrent une instabilité croissante. En Europe, ce n'est pas mieux. Les pays de l'UE peinent à s'entendre entre eux, les débats sont de plus en plus hostiles, avec de moins en moins de but ni de ligne directrice. C'est de là que provient la défaillance en efficacité de la démocratie : plus personne ne s'écoute. Le débat ne sert plus a grand chose, puisqu'il ne consiste qu'à se clasher et parler plus fort que l'autre parce que l'on considère que l'on a forcément raison donc on ne se remet pas en question. Mais les conséquences sont bien là : les régimes autoritaires, qui se passent de toute discussion publique, avancent plus vite. Quelles en seraient les solutions ?Je propose personnellement deux axes :- Être autoritaire avec les autoritaires. Nous ne pouvons pas laisser des régimes dangereux monter en puissance. Ils menacent les démocraties occidentales.- Restaurer le débat public. Nous ne devons pas parler pour parler. Nous devons parler avec un but précis. Ce but est d'obtenir une solution viable aux sujets de société. Peu importe qu'il s'agisse de la solution de l' "opposant". Ce qui compte, au final, c'est qu'il s'agisse des solutions qui soient les plus viables. Avoir tort n'est certainement pas un problème, c'est justement parce que certaines personnes ont moins raison que d'autres que le débat existe : l'objectif est de changer les points de vues, d'élever la pensée publique, et non de se clasher continuellement.
Aucune synthèse pour le moment.
Aucun argument pour le moment.
La concentration médiatique alimente-t-elle une menace pour la démocratie ? Faut-il interdire toute privatisation des médias pour garantir l’indépendance de l’information, ou au contraire préserver la liberté d’entreprendre et la pluralité des acteurs ?
Le conflit, fortement médiatisé depuis le 7 octobre 2023, dure en réalité depuis des décennies, si ce n'est un siècle. Derrière toute cette complexité, il est difficile de démêler le vrai du faux. Il est difficile de prendre parti. L'objectif de ce débat est donc d'éclairer les nuances de ce conflit, pour essayer d'en tirer des conclusions les plus objectives possibles.Les questions sont donc :Qui a commencé ?A qui la faute ?Doit on punir les deux pays ? Si oui, a quel point ?
Les organisations non gouvernementales (ONG) jouent un rôle majeur dans l'aide humanitaire, le développement et la défense des droits. Mais leur action est parfois critiquée pour son ingérence, son manque de transparence ou son efficacité. Quel est leur juste place dans la gouvernance mondiale ?
Développer l'esprit critique et les capacités de raisonnement dès le plus jeune âge pourrait transformer la société. Mais la philosophie est-elle adaptée aux enfants et comment l'intégrer au programme scolaire ?
Le spectre de l'inflation plane sur l'économie mondiale. Est-ce le signe d'un changement structurel profond, lié aux chaînes d'approvisionnement et aux politiques monétaires post-crise, ou un simple ajustement temporaire ? L'histoire économique nous offre des leçons, mais chaque crise a ses spécificités. Nous nous devons d'analyser les facteurs en jeu et leurs implications pour nos portefeuilles.
La démocratie moderne est un mensonge. Je m'explique : le peuple vote pour des députés, des présidents, censés représenter la parole du peuple, qui vont ensuite gérer le pays, voter les lois, etc.Mais, dans ce système actuel, les politiques sont ils réellement des représentants du peuple ? Par représentant, on entend bien une personne qui est désignée pour faire porter la voix du peuple. Son seul rôle devrait donc être de voter les lois, décrets, etc. selon ce que le peuple veut. Pourtant, au jour d'aujourd'hui, nous votons pour la personne dont les dires correspondent le plus à notre pensée. En d'autres termes, nous choisissons quelqu'un qui va penser à notre place, en lui accordant notre confiance sur la base de sa campagne durant laquelle il a prouvé que sa vision était similaire à la nôtre. Ici, la personne que nous choisissons n'est pas un représentant. C'est un substituant. Il ne va pas porter la voix de votre pensée, il va penser à votre place.La démocratie est donc fragilisée par ce système. Alors, comment remédier à cela ?C'est ici que Logokratia fait son apparition.Logokratia est un réseau social dont l'objectif est de débattre intelligemment, en mettant en avant les idées dont leur solidité argumentative est la plus élevée. Cette analyse est faite selon 11 critères neutres, non politisés : fiabilité (sources, preuves, faits...), rigueur, cohérence, originalité, constructivité, métacognition, tempérance, etc.Cela permet de créer un premier filtre dans la parole commune : les opinions sans fondement disparaissent. La vérité, elle, tient debout. Elle apparaîtra dans la synthèse d'un débat. Maintenant, la deuxième partie de Logokratia consiste à transformer l'issue d'un débat en une action concrète. Pour cela, rien de plus simple : cette synthèse doit être lue, entendue par les représentants que nous choisissons. Que ce soit un député, une ONG, ou toute autre institution qui a un pouvoir d'action sur le monde, cette synthèse doit être lue. Car il s'agit de la voix du peuple. Celle qui est fiable, sourcée, argumentée. Ces représentants se doivent d'agir selon la volonté du peuple. C'est la base même de la démocratie : le pouvoir au peuple. Ils ne peuvent ignorer ce que le peuple dit. Voilà les ambitions de Logokratia : restaurer, la démocratie par la logocratie.
Réponse simple : Non. Réponse détaillée : elle est liée à un pic de testostérone pendant les premières semaines de la grossesse. Ce pic joue un rôle important dans la sexualisation du cerveau : plus son importance ET la capacité de réception du fœtus aux androgenes est élevée, et plus le cerveau sera masculinisé. A quoi cela correspond ? Et bien le cerveau contient des zones, ou encore des réactions a certains phéromones qui sont différentes entre les hommes et les femmes. De plus, il existe un "mapping" dans le cerveau qui s'effectue AVANT la différenciation sexuelle : il existe une zone du cerveau qui permet de savoir qu'à tel endroit il y a un bras, une jambe... y compris pour les organes génitaux. Et il arrive que ce pic de testostérone ait lieu sur un fœtus féminin... ce qui va masculiniser le cerveau ; inversement, et plus fréquemment, ce pic n'aura pas lieu sur un fœtus masculin... qui va féminiser le cerveau. Cela va créer une incongruence entre le corps et le cerveau, que l'on appelle Dysphorie de genre. La transidentité existe bien, n'est pas une maladie mentale, ni une crise identitaire, mais elle est trop peu comprise, et bien trop politisée, ce qui mène à des opinions stigmatisantes. Il n'est pas grave de penser initialement que c'est une maladie mentale car justement il est difficile de démêler le vrai du faux. Maintenant ce qui compte c'est d'avancer, et de changer sa manière de voir les choses : passer d'une opinion sans fondement qui stigmatise les personnes transgenres, et va jusqu'à des politiques transphobes, à une explication rationnelle et scientifique.
© 2025 Logokratia. Tous droits réservés.
Nous utilisons des cookies pour personnaliser les publicités et analyser notre trafic. Acceptez-vous leur utilisation pour une meilleure expérience ? Pour en savoir plus, consultez notre Politique de Confidentialité.